Malius Venam et la naissance de la nécromancie: les livres interdits

Difficile de trouver des sources aussi anciennes qui mentionne le nom de Malius Veenam. C'est dans les archives de la capitale d'Honoros et de la bibbliothèque d'AzDreugi que l'on a pu reconstituer partiellement la vie du premier nécromancien de notre monde.

Sa jeunesse:

Malius Veenam est né à Honoros il y a de cela 675ans. Issu d'une famille aristocratique proche du pouvoir royal. Son père légiste aide le roi à administrer au mieux son royaume. Sa mère est une riche aristocrate qui voue un amour inconditionnel pour son fils. Très doué intellectuellement, Malius se révèle être un très bon élève, excélant en philosophie et dans les matières scientifiques. Il sort diplomé de l'académie à l'âge de 17ans et poursuit des études de droit, espérant assister son père dans sa tâche de conseiller auprès du roi.

Les débuts dans la magie:

(en cour de réalisation)

Spiritisme, occultisme, nécromancie:

(pas encore terminé)

Il transforma la demeure familiade de ses parents en une immense bibliothèque rassemblant l'intégralité des recherches du nécromancien. Les habitants vivant à proximité de la demeure des Vernams disaient n'apercevir Malius que dans de très rare occasions: lorsqu'il sortait, il était toujours vétu d'un long manteau noir qui recouvrait l'intégralité de son corps. Il ne regardait personne et ne s'arrêtait pas pour discuter avec les gens. La maison n'était jamais entretenu, la végétation mourrante laissé apparaître un sol mourrant, empoisonné et dégageant une odeure nausébondes. Les arbres autour de la maison mourraient, pourrit de l'intérieur et infestés par des insectes. Plus d'un villageois avaient rapportés que lors des pluies et violents orages les canalisations et caniveaux près de la maison des Vernam déversés de grandes quantité de sang mélangés à des morceaux de chairs putréfiées et tumifiées.

Ses connaissances dans l'occultisme ne cessèrent de croître. Il multiplia les expériences sur des corps: d'abord sur des carcasses d'animaux puis sur des cadavres d'humains fraîchement déterré. En l'absence de corps pour pratiquer ses recherches, Malius expérimentait la magie noire sur son propre corps: il se mutilait, s'arrachant des pans entiers de chair (quand ce n'était pas un membre complet) qu'il tentait ensuite d'animer et de contrôler avant de le rattacher à son corps. A de très nombreuses reprises, Malius tenta de rencontrer en contact avec des morts, allant toujours plus loin dans le jardin des morts. On dit qu'il fut contacté à plusieurs reprises par des démons extrêmement puissant notamment la démone Astarte. Une légende urbaine raconte que Malius à un jour été contacté par le démon primordial Adramelech lui ordonnant d'écrire des rituels d'invocations démoniques. Si Malius n'était pas encore devenu fou, la vision cauchemardesque et indescriptible d'un démon primordial suffi à faire perdre la raison à tous être humain.

Disparition, fin de vie mystérieuse:

Ses travaux attiraient de plus en plus l'attention des gens qui peuplaient le royaume. Les histoires qui courraient dans le royaume finirent par arriver aux oreilles de puissantes organisations et confréries guerrières et religieuses. Le roi d'Honoros fut également informé de ses rumeurs par ses légistes qui craignaient de voir une vague d'insurrection se propager dans les populations locales. Aussi, le roi fit mander une cohorte de 600 chevaliers et religieux pour venir à bout du nécromancien. Les quelques sources que nous avons pu récupérer sont très lacunaires, mais de ce que nous savons, c'est qu'il eut une féroce bataille entre le nécromancien et les hommes armés et qui se termina par un bain de sang, le magicien invoquant des forces occultes terriblement puissantes faces à la puissance militaire des chevaliers.

Il en résulta de la mort du nécromancien. Son corps fut brûlé par les religieux sur un bûcher qui dura 3 jours. Les reliques que possédait le nécromancien ont été détruites et ses cendres éparpillées aux quatre coins du monde. La propriété familiale ainsi que sa bibliothèque ont été saisit par le roi et réduit en cendre. Quand au nom de Malius Venam fut rayés de tous les ouvrages et registres royaux et archaniques (bien qu'il subsiste encore aujourd'hui des traces). L'intégralité des travaux du Nécromanciens ont été classés comme dangereux et ses ouvrages interdit à la diffusion et à l'enseignement. Le roi avec les archontes rédigea une suite de décret et loi interdisant toutes pratiques magiques nécromantiques et occultistes. Tous contrevenant à la loi s'expose à une peine de mort sans jugement. Les successeurs du roi ont à chaque fois perpétuer ces lois jusqu'à aujourd'hui.

Son travail/ Ses livres: l'héritage de la nécromancie:

Au total c'est 5 livres qui ont été rédigés, mais seulement 3 ont été identifiés:
- Necronomanicus ----> invoquer des démons mineurs issus des 5 et 7 lignés des démons primordiaux
- L'iber Malificus ----> invoquer des démons majeurs issus des 3 et 4 lignés des démons primordiaux
- Necraque Izu ----> invoquer le démon primordial Adramelech
- Cthazala (aurait été écrit sous les instructions de la démone Astarte) ----> on suppose que le rituel qu'il contient permet de tromper la mort et ainsi d'acquérir l'immortalité.
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Encore aujourd'hui, nous ignorons si les 5 livres écrit par Malius ont survécu à l'incendie de sa bibliothèque. Nous avons en effet trouvé de nombreux témoignages d'archivistes et légistes qui faisaient mention d'ouvrages ''interdit'' se distinguant des autres livres conservés. Toutefois, on sait de source sûr que Malius disposait d'apprentis qui ont réalisé des copies de ses oeuvres, dont un très connu et tristement célèbres: Agarathe Sephirius auteur du livre interdit: ''Netherhad'' qui se traduit par ''Comment voyager dans les enfers''.

Rapport de saisit de livres dans une propriété appartenant à un démon: ''Peu importe, qu'il s'agisse d'originaux ou de copies, les dangers qu'ils peuvent représenter sont bien trop grands. Je dirais même qu'une copie est bien pire qu'un original: les copistes ont probablement fait involontairement des fautes dans les rituels et phrases d'incantations qu'ils ont recopiés: imaginer les désastres que pourrait causer un rituel mal exécuté, les conséquences en seraient dramatiques...

De plus, la quasi-totalité des livres traitant d'occultisme et de magie noire sont protégés par de puissants enchantements qui limitent leurs accès. Dans des cas plus rares, ce sont des fragments d'âmes de créatures des enfers qui imprègnent les pages de ces manuscrits. Quelques témoignages d'arcanistes nous expliquent avoir entendu des ''voix'', des bruissements et ombres s'agiter autour d'eux quand ils consultaient des ouvrages interdit.

Le grand archonte d'Honoros Heralius a rapporté dans ses mémoires qu'un de ses disciples avait consulté dans les archives sans son autorisation le L'iber Malificus. '' Le sol c'était soudainement mis à trembler un court instant dans la grande bibliothèque, les lustres oscillants menaçaient de nous tomber dessus. Le plancher gondolait sous les secousses et la température de la pièce centrale grimpa, transformant la bibliothèque en une véritable fournaise. Une fois le chaos terminé, nous nous sommes précipités dans les archives pour tenter de comprendre ce qui s'était passé. A notre arrivé nous vîmes un de mes disciples: Théodore à terre en train de convulser. Son corps se tordaient dans tous les sens, ses yeux blancs étaient sortis de leurs globes oculaires et sa bouche semblaient prononcer une incantation runique en langage de Démosté. 2 jours plus tard, nous l'avons retrouvé dans sa chambre les yeux crevés, en train décrire au mur et au sol des runes et pentacles avec son sang. Il mourut quelques minutes plus tard.

HRP
Un mot: super.

[HRP] Toujours génial, mais à quand la suite ?! :D

Pour l'instant 3 bouquins ont été crée. Mais seulement 1 de trouvé :)

Noooooooooooooooooooon

Ils sont cachés dans la mpa, à vous de les retrouver

Vraiment ? Dans des coffres accessible au moins ?

J'y ai pensé, les ouvrages sont accessible dans des coffres

Niquel, pas d'indice Rp (rumeur ou autre ?)