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Mon journal intime

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Message par Hache_tag Dim 14 Aoû - 20:04

Si vous lisez ceci c'est que vous avez mon livre ! Refermez le immédiatement ceci ne vous appartiens pas ! Prendre le risque de le lire signifie, la mort pour vous ! Je ne prendrai pas ce risque inutilement si j'étais vous ! Sur ce je vous salue, Bien a vous ! A rendre à Ataliel De Millié si trouver !

Ce jour là, j'avais cinq ans, je n’étais jamais allée à l'école et je restais tout le temps chez moi avec ma mère pour s'occuper de moi. Je me présente, je suis Ataliel De Millié. Mon père était souvent très occupé et donc souvent absent. Je n'avais que cinq ans mais je savais déjà lire et compte, la plus part du temps je lisais dans la bibliothèque remplie de toutes sortes de livre de mon père. Les adultes n’arrêtaient pas de me dire que j'étais bizarre, anormalement intelligente et curieuse. Moi je ne les écoutais point, je faisais comme si j’étais seule, après tout j’avais seulement deux amis un peu spéciaux que je n'avais en aucun cas le droit de voir. Depuis que j'étais née on me laissait tout faire à part sortir de la maison mais je n'en avais rien à faire car les livres eux, me comblaient de joie, même si je ne les comprenais pas tous. Mais aujourd’hui, était un jour spécial enfin pour moi, c’était mon anniversaire et j’avais donc cinq ans comme je vous le disais précédemment. Mes parents ne semblaient pas s'en souvenir comme d’habitude trop occupé, pour me le dire où y penser. J'avais donc choisi de faire comme d'habitude et donc j'allais et entrais puis m'installais dans la belle bibliothèque. Une heure plus tard, le nez dans une livre de mon écrivain préféré, un homme d'une soixantaine d'années entra accompagné de mon père. Celui-ci avaient énormément de rides, avec un costume blanc dont deux traits rouges coupaient le vêtement en trois différentes parties. Un mauvais pressentiment me fis frissonner et je ferma mon livre a contre cœur pour mieux observer l'étranger. Après plusieurs secondes dans un silence tendu, lui et moi nous nous dévisagions en chien de faïence. Je remarqua une cicatrice presque invisible d'un simple coup d'œil, celle-ci se trouvait sur sa joue droite, j'aurai parier qu'elle avait été faites par une dague ou un couteau bien tranchant. Le veille homme avait des yeux noirs comme l'un des fameux oiseaux qu'on surnomme charognard et ses cheveux étaient blanc mais d'un blanc poisseux, sale mais je me tus attendant que celui-ci rompe ce silence pesant. Comme attendu, il se présenta comme étant l’ancien et retraité Prêtre Sacré, Monsieur Me Erciler alors par pur politesse, je déclina aussi mon identité même si je me doutais bien qu'il savait qui j’étais. Je me tournis alors vers ma père qui s’était assis et qui invita Monsieur l'ancien Prêtre Sacré a faire de même. Mon géniteur en voyais que mon regard était posé sur lui me sourit mais je voyais bien qu’à travers ce sourire , celui ci avait un peur bleu, il doutais. Je lâcha un long et grave soupire puis m'enfonça dans le fauteuil en beau cuir qui était trois fois trop grand pour moi. C’était à ce moment-là que Mr Me Erciler commis une grave erreur, il me demande ce qu'une petite fille comme moi, faisait dans une pièce réservé pour les grandes personnes et continua en se risquant à me demande où était mes poupées avec lesquels d’après lui je jouais ici. Mon père se décomposa après avoir entendu les paroles de son invité. Je regarda Monsieur Me Erciler peu amusé par ces paroles et lui rétorqua sur un ton froid ;
          - Voyez vous, Monsieur, les poupées ne sont que des futilités sans intérêt et je n'aime pas perdre mon temps avec des choses aussi inutile ! Si je suis dans cette bibliothèque que vous nommez pièce pour grande personnes, c'est bien évidemment pour lire, des livres, qui logent dans cette splendide pièce mais assez parler de moi.. si vous vouliez bien me dire pourquoi vous me déranger en plein lecture je vous en serez reconnaissante.

Après ma tirade, le vieillard devint livide à l’idée qu'une petite fille de cinq ans saches lire et parler ainsi, celui-ci ce tourna vers mon père qui haussa simplement les épaules. Après quelques minutes ou l’homme âgée reprenait contenance, il me répondit très chaleureusement ;
          - Ataliel, je suis ici pour te parler de ton merveilleux futur, j'imagine que tu sais que ton père est devenue l'homme le plus important de ces terres, le prêtre sacré, par conséquent j'ai le devoir de te parler de la religion d'Iponia. Je suis sur que cela t’intéressera étant donné que j'ai appris que tu croyais énormément en Iponia et cela me ravis.

Mon père se leva, nous salua puis parti après avoir mis à notre disposition de quoi nous restaurer. Je regardais mon père disparaître par l'encolure de la porte puis redirigea mon attention sur Sir Me Erciler. Celui-ci commença à m'expliquer le fonctionnement de la religion d'Iponia que je connaissais déjà sur le bout des doigts, mais je fit bonne figure, par conséquent, je l’écouta du début à la fin même si c’était ennuyant à souhait. Après ces trois heures de cours, celui-ci entama le plus intéressant, toujours en me parlant comme si je ne comprenais rien. Je fis abstraction de cette offense en vers ma petite personne.
        - Ataliel, je viens de te raconter tous ce qu'il y a savoir sur la religion et ensuite je t'ai énormément parler des Prêtresses Sacrées, avec leurs histoires et tout et tout. Moi Monsieur Me Erciler, est l'honneur de t'annonce, que tu es la prochaine Prêtresse sacrée. M’annonça t'il avec un grand sourire franc.

Je ne montra rien de ma pensée et encore moins de mon arrière-pensée, je me leva très rapidement, m’excusa puis sorta de la pièce à tout allure, l’air sérieuse et Sérieusement en colère. J’allais directement vers mon géniteur, je me planta devant lui et le premier son qui sortis de la bouche fut << Non >>, mes yeux rivés dans ceux de celui qui m’appelait ma fille qui ne comprenais point mon geste. Alors le voyant ainsi je continua << Je suis libre et je le resterai ! >>. Sur ces mots, je retourna dans ma cachette, la bibliothèque puis me rassit et repris ma lecture, contente de moi. L’ancien Prêtre me dit , au revoir mais je ne répondit point, celui-ci s'en alla par la suite. 

La jour suivant, ma mère vient me réveiller tôt le matin, ne comprenant pas je m’habilla et me prépara. Ensuite celle-ci me conduisit devant un immense manoir devant celui-ci un pancarte raffinée << Académie PDR >> Ce qui voulait signifier Académie pour prêtresse de la religion. Je fut ravie de voir que j’allais enfin à l'école mais je fus vite déçu. Je questionna ma mère qui resta à ma grande surprise aussi muette qu'une carpe. Le bâtiment était ancien avec énormément de fenêtres ce qui me permis de déterminé approximativement le nombre d'étage. Nous nous arrêtons puis ma mère pris les devants et entra en prenant ma main. Je ne fut pas étonnée par l’ameublement, une commode datant très certainement du siècle dernier, un lustre pendait au plafond et il y avait tellement de poussière que j’eus peur que celle-ci prenne vie. Je suivais donc ma mère avec prudence, je tenais fermement sa main et je la suivi. Nous arrivâmes dans une pièce similaire ou ma génitrice me laisse et me dit d'attendre. Alors j’attendis pendant 45 minutes, je bouillonnais de colère quand j’aperçus quelques livres plutôt alléchants sur une étagère, j'en pris un puis commença ma longue descente vers l'histoire de ce livre mais je connaissais déjà le sujet. N'ayant rien d'autre à faire que je repris ma lecture.. C'est alors que je resta la pendant 5 bonnes heures à lire quand une grande jeune femme entra dans la pièce, et me regarda en souriant. Je referma le livre puis alla le rangé à sa place. Je me tournis vers elle, étant plus qu'excéder par ce manque cruelle de respect du à son énorme retard puis l'étrangère s'exclama ;
          -Alors c'est toi Ataliel. Enchantée, je suis Eva Gradon, je suis …
Elle me tendit sa main, je l'ignora et lui coupa la parole sur un ton froid et calme même si ma colère était égale à un volcan en éruption.
          - Vous êtes là Prêtresse Sacrée, je le sais déjà. Dites moi, connaissez vous une forme de respect se nommant la ponctualité ?
Mes yeux fixaient les siens et lui montraient bien que j’étais des plus sérieuse. Eva sembla choquée, elle qui pensait qu'elle aurait à faire à une gamine qui saurait à peine parler correctement et qui ignorait tout de la vie, mais Eva avait plus l'impression d’être en face d'une adulte en savant plus qu'elle sur la vie ou autres sujets.
          - Excuses moi, mais quel âge as-tu petite fille ? Me demanda t-elle.
          - J'ai eu cinq ans hier, cela vous pose -t-il un problème ? Dis je excédé.
         - Cinq ans ?! Maintenant que j'y réfléchis tout est normal mais je ne comprends pas…tu parles comme une adulte et puis c'est moi, ou tu étais entrain de lire avant que j'arrive ! Dit tu es humaine au moins ? Me Questionna Eva
          - C’en est trop je m’en vais si c'est ainsi ! Commençais je à partir en voyant cette jeune adulte me manquer de plus en plus de respect
Madame Gradon l’attrapa le bras pour m’empêcher de partir comme je comptais le faire, sa poigne était trop forte et cela me fit mal.
         - Vous me faites mal, lâchez moi immédiatement ! M'écriais je en haussant la voix
Celle-ci me lâcha, je m’empressa de masser directement l'endroit douloureux tout en prenant le temps d'observer Eva. Cette jeune fille avait une vingtaine d’années, son sourire m’insupportai déjà, elle portait la même chose que Monsieur Me Erciler mais en version robe. Aucun bijoux n'était présent dans sa tenue, ses cheveux blonds et lisses étaient attaché en une haute queue de cheval et ses yeux bleus donnaient l'impression de nager dans l’océan rien qu'en les regardant. Rompant le silence celle-ci dit ;
         
- Tu n'iras nulle part ; tu habiteras ici à partir d'aujourd'hui comme tu l'as vu sur le panneau. Tu es dans un académie et je serai ta professeur dans l'enseignement pour devenir une Prêtresse Sacrée. Tes affaires doivent être déjà arrivé dans ta chambre, tu peux disposer maintenant. Ta chambre est en haut de l'escalier, troisième porte a gauche.

         - Je crois que vous n'avez point compris le fond de ma pensée. En premier lieu, vous m'avez manque de respect en me laissant attendre indéfiniment, puis ensuite en me traitant comme un bébé... et en deuxième lieu, je ne souhaite en aucun cas apprendre de vous qui avez un esprit aussi étroit ! M'exclamai-je

          - Que dis tu donc ?... Ma cocotte tu n'as pas le choix ! Mais si cela peut te consoler saches que tu seras chouchoute et puis, tous ça est juste pour ton bien.

Je me dis que de toute façon si je continuais cette discussion, c’était comme si je parlais a un mur alors j'ai obéis et je rejoignis ma chambre a reculons. J'ouvris doucement la porte et poussa un cri d'effroi. Ma chambre... ma chambre était a ma grande horreur totalement rose bonbon, remplie de poupées entassées les une sur les autre. La pièce était rempli d'un odeur immonde de bonbon que je ne supportait pas ! Je me demanda pourquoi le mauvais sort s'acharnait sur moi. J'entrepris de prier Iponia pour qu'elle m'aide mais celle ci resta sourde alors j'abandonna puis me laissa tomber sur mon lit encore rose. Le soleil se couchait et mon ventre ronronnait mais le sommeil me pris d’assaut et je m'endormis immédiatement.

Le lendemain matin, on toqua a ma porte mais j'étais déjà prête alors j'ouvris et vis Eva encore plus étonnée que je sois la devant elle. Elle me dévisagea comme si j'étais un animal de foire et je lâcha un soupire qui en disait long sur ma pensée. Mais elle n'y fit absolument pas attention. Le petite déjeuner n'étais pas prêt avant 9 Jonz et il n'était que 7 Jonz du matin. Alors elle me conseilla de jouer avec mes poupées en attendant. C'est alors que je me risqua a lui demandé certainement l'impossible....un livre. A mon grand étonnement, elle pointa du doigt une petite commode violette comme la fleur et me dis que dedans il y aurai de quoi me divertir. Sur ces mots, elle repartit certainement vers les cuisines. Je referma la porte puis entrepris d'ouvrir la commode. Je découvris désespéré, des albums composées d'images les plus idiotes soit elle, mais aussi des mots a chaque fois pour apprendre très certainement a lire.
Je referma le tiroir et me posa sur mon maudit lit. Ce moment de réflexion me permit de réfléchir sur ma nouvelle professeur et de mettre mes objectifs au clair. La seule solution que j'avais trouvé, c’était d'attendre que cela ce finisse, même si cela pouvait prendre des années. Le réconfort que j'avais perçu était le faites que d'autres jeunes filles habitaient cette demeure, peut être de futur amie. J'attendis deux heures avant que Madame Eva vienne me chercher avec un grand sourire aux lèvres. Elle m'emmena dans la salle a manger ou une multitude de jeunes filles discutaient, je souris en les voyant. Eva me pris la main et m’entraîna avec elle au bout de la table et toutes les jeunes filles se levèrent en même temps en saluant Eva. Celle-ci déclara ;
        - Bonjour à toutes, je vous présente la future Prêtresse Sacrée ! Déclara-t-elle en me regardant avec un grand sourire ou toutes ces dents blanches ressortaient.

Moi, mon sourire avait disparu si tôt qu'Eva me désigna en tant que future Prêtresse Sacrée. Celle-ci continua ;
        - Elle a cinq ans et elle se nomme …

Je la coupa d'un simple geste de la main suivi d'un regard noir pour sa personne, et je poursuivit;
        - Ataliel De Millié, je me nomme Ataliel De Millié et je suis ravie de vous rencontrer. C'est un véritable enchantement pour moi !

Je fis une petite révérence avec un beau sourire en signe de profond respect. Toutes les filles me dévisageait comme si j'étais dérangé. Ces jeunes filles étaient toutes plus vielle que moi, j'étais la plus petite et de loin. Je me tourna vers Eva qui étais assez pale, celle ci m'invita a m’asseoir à ses cotes, ce qui je fit et toutes les demoiselles firent de même. Je commença a manger. Bizarrement la confiture, le jus et les tartines avaient un drôle de goût, mais je compris pourquoi par la suite. Les tartines étaient sans sel, la confiture sans sucre et le jus était 1% de fruit et 99% d'eau. Je me retint de grimacer et me rendis compte que tous monde chuchotait en me regardant de travers. Je croisa mes couverts dans mon assiette en porcelaine après avoir finit et demanda la permission d'aller me débarbouiller. Celle ci me fut accordé sans une once d'hésitation. Alors je me dirigea vers la salle de bain qui m'était apparemment réservée . Je l'avais découverte ce matin en fouillant un peu dans le bâtiment, que personne n'avait pris la peine de me faire visiter.
J'ouvris la porte mais je resta devant celle-ci sans avancer et comme je l'avais senti, un seau de d'eau tomba et se déversa par terre. J'enjamba la flaque d'eau et me passa un peau d'eau sur le visage. Je ressortis en laissant le seau, l'eau et la porte ouverte. Je revint donc vers la salle a manger, totalement sec et hasardeusement une fille se leva en me regardant et en criant ;
           - Mais ! Comment ?!

Je regarda en souriant elle et les filles à ses cotes. Elles étaient aussi pale qu'un linge blanc.
         - Ah ! Mesdemoiselles, je crois que vous avez laisser un seau en fer dans la salle de bain a cote de ma chambre. Vous pouvez aller la récupéré avec son contenant, j'ai laissé la porte ouverte. Lui dis-je avec un sourire carnassier

J'alla me rasseoir tant dis la jeune fille hébété se rassit aussi. Je fixais Eva me demandant quand elle allait mettre fin à ce repas. Celle ci mis un terme a mon calvaire et nous demanda d'aller en salle de Classe. Je suivis le groupe qui se dirigea vers la fameuse salle et découvris une gigantesque pièce avec une multitude de rangée de table en bois simple et des tabourets. J'aperçus une autre avec une étrange intuition que celle-ci était pour moi ! C'était une table très sophistiquée, à l'écart des autres et bien sur d'une couleur horrible Rose par contre la chaise était aussi gracieuse mais violette. Je vais donc prendre place sur cette chose qui me donne la nausée, toutes les jeunes filles installées me regardaient et jalousaient cette ensemble de matériel de travail. Quand les portes s'ouvrirent dans un grand fracas qui me fit sursauter. Je vit cinq adultes habillées toutes de la même façon, une robe blanche avec un seul trait rouge dessus. Leur regard se tourna directement vers moi qui soupira immédiatement.
Les dames allaient voir les autres jeunes filles et je compris que le cours avait commencé sauf pour moi. Dix minutes plus tard, Madame j'arrive toujours en retard arriva et vint a ma table. Je la regarda désabusé, le regard rempli de haine a son égard car tout était de sa faute. Celle- ci déposa des albums sur le meuble de travail, le titre du premier était « Apprendre a lire en 10 leçons ». Elle l'ouvra et commença son fichu cours mais je ne faisait point attention, elle parlait dans le vide et du s’apercevoir que moi j'étais déjà sur mon île imaginaire dans ma tête, cette île me permettai d’échappé aux problèmes inévitables car celle ci commença a s’énerver ;
            - Ataliel ! Je sais qu'il est dur d'apprendre a lire mais si tu n'écoute pas et ne fais pas ce que je te dit, tu n'arriveras a RIEN dans le vie !

Je retourna a la réalité a contre cœur et me leva
            - Que voulez vous, je suis une enfant pourri gâter qui n'a point de cerveau et qui préféré jouer avec ces stupides poupées ! Ironisais-je avec le plus grand calme

            - Ataliel ! Vous devez montrer l'exemple et pour ça vous allez travailler dur, très dur, cela je vous le promet. M’annonça Eva

            - Bon, mettons les points sur les I ; je sais déjà LIRE et compter mais aussi écrire après je ne joue JAMAIS avec des poupées et je lit des vrais livres avec du TEXTE ! Pour finir le rose est une couleur qui irrite mes yeux, c'est une couleur hideuse ! Déclarais je en souriant.

Dame Gradon me regarda et commença a rougir puis se leva pour ensuite prendre d'un pas décidé la pile de gros livre qui avait attire l'attention de mon œil de rat de bibliothèque. Elle ramena la pile et la lâcha lourdement sur mon bureau. Mon regard s'illumina, je pris le premier des livres qui était nommé « Le KI ». J'ouvris ce gros livre et observa la calligraphie. Elle était rude et rapide mais tellement belle.
             - Miss je sais tout ! Lit moi immédiatement ce livre a haute voix ! Ordonna t-elle violemment
J'obéis avec un immense plaisir et commença ma lecture. J'étais absorbe et ma lecture était absorbante et d'un fluidité extraordinaire, tous c’était tut et m'écoutais attentivement. Mais d'un coup je me pris étrangement quelque chose de lourd dans la tête, c'était d'une violence que cela me fit tomber en arrière sur ma chaise. Bien évidement cela arrêta ma lecture et ma tête heurta douloureusement le sol. J'entendis un groupe de fille rigoler et vit un dictionnaire à mes cotes. Je fit le rapprochement instantanément. Ne me laissant pas décontenancer, le nez saignant, je me releva rapidement avec un mal de crâne puis ramassa la chaise et le dictionnaire et les rangea. Eva et certaines filles s’étaient précipitées pour m'aider tant dis que les autres fixaient les responsables. Je sortis un petite mouchoir blanc brodé main et m’essuya délicatement le nez, puis alla rendre le dictionnaire a sa propriétaire.
             - Il me semble que ceci est a vous. Vous l'avez égaré par inadvertance. Dis je en souriant et en posant le dictionnaire sur son bureau

             - Mais c'est quoi ton problème !? C'est parce que tu penses tellement exceptionnel que tu n’arrêtes pas de nous prendre de haut et de nous humilier ?! Dégages maintenant Grognasse ! Cracha-t-elle en relançant le dictionnaire sur moi

Je me pris l'épais livre dans le ventre et il tomba ensuite sur mes pieds dans un grand silence. Une grande douleur me lança au niveau des endroits touche par le dictionnaire , c'est a dire mon ventre et mes pieds mais je ramassa le livre puis le reposa sur la table en disant ;
             - S'il vous plaît, pourriez vous prendre soin de ses magnifiques livres qui eux ne vous ont rien fait ?.. déclarai-je en ne montrant rien de mon horrible douleur

Sur ces mots , je tourna les talons puis partis vers ma chambre en marchant dignement. J'entra dans ma chambre en boitant ayant affreusement mal a mon pieds droit. Je m'assit directement sur mon lit après avoir fermer et bloquer la porte. J'enleva mes chaussures et examina mon pied devenue violet avec une énorme bosse dessus. Mon ventre me tiraillai, je souleva mon haut et remarqua un énorme hématome. Je grimaça  et hésitai a lâche un cri de souffrance mais ne fit rien. Des larmes commençaient a remonte a la surface et a se déverser sur mon visage. On toqua a mon porte mais ne voulant être vu dans cette état, je fis la sourde oreille. La personne derrière insista et essayait d'ouvrir la porte en vain. Après quelques minutes allongé sur mon lit en me tenant le ventre tout en pleurant, quelqu'un défonça la porte. Avant de ne pouvoir voir l'inconnu, je ferma les yeux pour cesser l'écoulement des larmes. Je cru reconnaître un voix masculine, son grain de voix avait un quelque chose de reposant et protecteur ;
            - Mademoiselle, soyez tranquille tout va bien maintenant.. me dit il

Bizarrement, je ressenti une feuille se poser doucement sur moi et émettre une grande chaleur qui m'endormis presque instantanément.

Je me réveilla toujours baigner dans cette chaleur si douce et agréable, ne sachant combien de temps j'avais dormis. J'ouvris péniblement les yeux et attendis qu'ils s'habituent a la lumière. Je discerna deux personnes discuter et l'une d'entre elle était Eva j'en étais sur mais la deuxième personne me rappelai quelqu'un mais je ne me souvenais pas quand j'avais entendu cette voix ;
            - Alors comment va t-elle ? Demanda-t-elle

Étais ce moi où elle s’inquiétait vraiment pour moi. Dans sa voix je m'aperçut de ça.
            - Elle dort tranquillement mais son pied droit et son abdomen n'étaient pas beau a voir. Pour qu'un simple dictionnaire fasse des dégâts si important elle a du utilise un peu de son KI.. annonça-t-il

            - Vraiment ?! Il va donc falloir que je sévisse doublement ! Cela ne dois jamais recommencer ! Utiliser le KI peut être mortel pour la victime. Répondit il

En entendant ça, je me redressa avec difficulté puis je m'exprima ;
             - Non s'il vous plaît ne la punissez pas, je suis sûr qu'elle voulait simplement me faire une démonstration de KI et ça a pris des proportions démesurées mais c’était juste un accident et puis elle avait certainement du avoir une mauvaise matinée. Alors s'il vous plaît Dame Eva passez l'éponge sur cet événement !

Je souris puis baissa la tête en signe de respect. Eva soupira puis répondis ;
             - Ataliel, je suis désolée de t'avoir appeler Madame Je Sais Tout. Tu es tout a fait incroyable pour une jeune fille de cinq ans. Je te cède cette demande mais je la gronderai un peu mais sans plus comme tu le souhaites. Ta lecture etait magique, merci. Maintenant reposes toi ! Ceci est un ordre !

Elle s'en alla en me souriant et je vit de la quiétude a mon égard dans son regard. L'homme habillé en noir avec un seul trait blanc s'approcha de moi lui aussi souriait ;
             - Alors tu es vraiment une petite génie. Enchantée Ataliel, je suis le maître de KI. Appelles moi, Arthus. Maintenant tu as entendu Eva, Au dodo. Me dit-il avec la même voix que j'avais imaginé pour un père aimant

Je m'endormis sur cette pensée agréable

Je me réveilla d'un coup trempé, avec un groupe de fille entrain de rire a mes cotes. J'étais sonnée et glacée. Je me leva de mon lit tremblante mais une douleur le lança et je me rassit immédiatement. La plus grande des filles s'avança vers moi ;
          - Ah.. alors cela vous a-t-il plu votre majesté Princesse Ataliel ?

Je ne répondis point claquant des dents, chacune avait un seau vide. J'en déduisis que je mettais pris sept seau d'eau glacé. Celle-ci continua ;
          - Tu as froid ? Tu devrais t’essuyer avec ça ! Me déclara-t-elle en m'envoyant dans la tête une serpillière très sale

Ensuite le groupe parti en pouffant. Arthus entre dans la pièce peu de temps après et m’aperçut. Il m'enleva immédiatement la serpillière. J'étais en hypothermie et il le devina. Celui-ci me serra dans ces bras pour me réchauffer et ce fut un moment très agréable. Nous restâmes longtemps dans cette position et j'avais repris des couleurs plus tôt normal. Celui-ci m'examina puis lâcha un soupir de soulagement. Mes vêtements étaient sec et il avait changé les draps mouillés. Je souris a pleine dent et essaye de me tenir debout ce qui fut très facile, la douleur ayant disparu. Je regarda Arthus un moment surprise puis sorti de cette pièce ne contenant aucune décoration, aucun meuble excepté un lit blanc et un armoire grise avec une intuition en tête. Arthus me suivi comprenant ou je voulais aller, il me tendit la main d'un geste plein de tendresse. Je m'empressa de prendre sa grande main et je la serra. Nous entrâmes ensuite dans ma chambre, totalement dévasté, vandalisé. Le lit était cassé, déchirés par terre des membres de poupée détaché du buste gisaient et en gros sur le mur « PRINCESSE ATALIEL » en rouge. Arthus me regarda tristement mais je n'étais pas en colère.
          - Arthus où sont les filles en ce moment ? Demandai-je

          - A la cantine petite génie.. Répondit-il

J'emmena Arthus avec moi dans la Salle a Manger puis j'ouvris la porte en lâchant la main d'Arthus et entra suivis du maître KI. Toutes se tournèrent vers nous et j'alla vers la grande fille du groupe qui c'était adresser plus tôt a moi.
          - Merci pour la décoration dans ma chambre, j’apprécie que nous ayons les même goûts. Peut être pourrions nous être amie maintenant et faire plus ample connaissance ? Demandai-je

Elle se retourna vers ces amies qui riait aux éclats puis me regarda avec un sourire malsain et me répondit ;
           - Avec joie ! Je suis sûr qu'on s'entendra très bien !

Je fut ravis de sa réponse mais bizarrement les autres me regardaient peiner pour moi et Eva me fixait inquiète.

Les années passaient et j’apprenais vite et adorais lire l'histoire de ma terre natale. J'aidais aussi mes nouvelles amies. Je connaissais déjà tous par cœur mais ce que j’adorais, c’était la maître du KI. Cela était long et fastidieux mais émotionnellement parlant, c’était géniale. En plus j'avais trouvé un père en Arthus qui prenait soin de moi. Nous étions toute endormis quand je me leva pour aller au petit coin. Mais ce que je ne savais pas, c’était que ce jours là allait tout changé. Je senti de la fumée. Après avoir finit mes petites affaires, je marcha vers l’odeur a moitié endormit et la ! Et là, je vit Sandréa et ses copines. Sandréa était la grande jeune fille, c'était une sorte de chef de mon groupe d'amie. Mais à ce moment précis, je regrettais au plus profond de mon être d'avoir été si cruche et les vit mettre le feu au bâtiment.
           - Arrêtez ! Vous allez tous brûler ! Arrêtez immédiatement ! Criai-je d'une voix pleine de colère et de tristesse

Sandréa se tourna vers moi, et j'avais cru voir un démon, un diable !
          - Princesse Ataliel n'est pas entrain de dormir ? Ce n'est pas bien ! Princesse Ataliel doit être puni, après tout c'est ton anniversaire demain cinq ans qu'on te supporte. On va te faire ta fête un peu en avance ! Répondit-elle avec un sourire machiavélique

D'un coup elle m'envoya une vague d'un KI puissant mais pas assez. Un simple geste de la main me suffit pour l’arrêter. Elle pâlit mais les six autres vinrent a son secours. Je me calma et décida qu'en priorité il fallait arrenter le feu. Je ferma les yeux et créa très rapidement un bouclier de KI autours de moi. Les jeunes filles en étaient impressionnées mais elles me haïssaient encore plus. Celles-ci firent apparaître des arcs de KI et tiraient sur moi. Mon boulier amortissait les chocs mais les douleurs étaient présente. Je banda ma volonté et forma deux grosses boules de KI et les envoya sur le feu pour l'éteindre mais la tache s’avéra difficile. Les boules explosèrent et cela diminua le feu mais ne l’éteignit pas. Les filles continuaient de tirer et Sandréa s'approchait de moi. J'avais voulu lui dire de s'éloigner mais c'était trop tard, le KI allait s'évacuer d'un instant a l'autre. Je me jeta dans le feu mais Sandréa était encore trop près. Je libéras d'un coup tout la pression accumulé. Une énorme vague sortit de mon corps et éteignit le feu mais malheureusement celle ci envoya valser Sandréa contre le mur, si violemment qu'elle perdit momentanément connaissance. Je posa un genou a terre, n'ayant jamais utilisé autant de KI. Je me senti vider de l’intérieur. Toutes les filles me regardaient horrifié et avec une peur bleu puis elles s'élancèrent vers Sandréa inconsciente. C'est à ce moment que Dame Eva arriva suivit des autres instituteurs.
               - Que c'est il passé ici ? Dit Eva essoufflé tant dis que les autres instituteurs s'occupaient de Sandréa

               - Dame Eva ! Nous avons senti de la fumée et nous sommes allée voir. Nous avons trouvé Ataliel entrain de mettre le feu a la battisse alors Sandréa a voulu l’arrêter mais elle est devenue folle et nous a attaqué avec son KI. Alors par autodéfense, nous avons riposté mais son bouclier la protégeait et Sandréa, elle essayai d’arrêter le feu mais en vain. Puis Elle réussit alors, ce monstre l'attaqua d'une vague si puissante que j'en ai encore des frissons. Ce monstre voulait sa mort pour déployer une telle puissance ! Mentit elle en jouant et les autres hochèrent la tête acquiesçant et jouant aussi la comédie.

Eva horrifiée après cette histoire se tourna vers moi, je vu pour la première fois, non pas de la fierté mais de la déception et du dégoût.
              - MONSTRE ! Comment as tu pu ?! Me cracha-t-elle au visage sans que je puisse me défendre

Mon corps devint lourds, très lourds. Sous la pression, je fut obligé de m'allonger de tout mon être ne pouvant ouvrir la bouche pour nier. Eva me pris par mes longs cheveux mauves et me traîna comme ça pendant un instant avant d'ouvrir une porte renforcé et de me jeter dans l’escalier comme un vulgaire sac. Le sentiment d’oppression sur mon corps disparu petit a petit. Je gravis en rampant les marches et le sommeil vint me trouver près de la porte ou l'obscurité était reine.

A mon avis, je me trouvais certainement dans la cave du manoir. Je ne dormis que peu de temps, les événements récents me revenant en tête. Je me haïssais pour avoir le regard d'Eva envers ma personne. Celui-ci me dégoutta de moi-même , mais aussi je la détestais, de ne pas m'avoir laisser m'exprimer. Mais après tout, toutes les preuves étaient contre moi. Je me réjouissais qu'il n'y est qu'une blessée a déploré et m'inquiétait pour elle, même si elle ne le méritait absolument pas ! Je me mis a pleurer des larmes de soulagement, de colère, de haine, de tristesse et de solitude. Les mots de Dame Eva me hantaient et me poignardaient a chaque pensée. MONSTRE avait elle dit alors que j'avais sauvé tout le monde. Je pris une dur décision de ne point me venger, d'aller m'excuser auprès de Sandréa et surtout de subir toute punitions si injuste soit elle. Nier ou me défendre ne servirait a rien, il y a sept voix dont une que j'ai blessé contre moi. Je comprenais trop tard qu'elles m'avaient toujours mépris et s'étaient servi de moi comme une sorte de sous-fifre ou d'esclave.

Les heures avaient passé et j'étais toujours éveillée, le corps ankylosé et les larmes asséchées quand la porte s'ouvrit enfin. Je ferma les yeux qui s'étaient habitués a l'obscurité. Mais on me pris brusquement le bras et la personne me tira violemment. J'ouvris les yeux qui s'habituèrent a la lumière. Je reconnu l'institutrice qui s'occupait justement du groupe de traîtresse. Je résista a l'envie de rire, d'un rire fou. Celle-ci forçait pour me faire mal et cela était réussie mais je ne fit rien paraître. J'arriva dans une salle que je n'avais jamais vu, où toutes les demoiselles me regardaient dégoûtées comme si j'étais un monstre. Je me tourna vers le groupe des sept traîtresses et vit Sandréa en bonne Sandréa. Elle jouaient parfaitement leur rôle de victime. Même si la haine envers elles étaient forte, je lâcha un soupire de soulagement. Je fut vite ramené a la réalité étant donné qu'on me poussa sur une chaise puis on m'assis de force et on m'attacha les poignées. C'était si serrer que la circulation sanguine était coupée. Je ne bougea pas d'un pouce et fixai l'assemblé qui me fessait face. Il y avait les instituteurs et au milieu Eva et Arthus me regardaient. De la haine, oui c'était de la haine que je voyais dans leur regard respectif et je pensa qu'il n'avait jouer probablement qu'un rôle. Eva se leva puis s'exclama dans un silence total ;
                - Ataliel, ici tous le monde est au courant de ton acte barbare ! Et tous sommes affreusement blessés et déçu de toi. Moi même je nous pensais comme des sœurs, mais tu nous as tous trahi !
Je ne puis me retenir ;
                - Laissez moi rire Dame Eva, vous n'avez fait que jouer un rôle qui n'était pas votre. Sinon que ferai-je la attacher sur une chaise devant vous ? Où est la confiance qui dois lier deux sœurs, c'est bien de cela que vous parliez ? Dis-je d'un voix remplie d'ironie et de fatigue
               - Tu es là car tu es coupables ! Tu n'as jamais démenti, tu ne t'ai jamais défendu. Annonça-t-elle
              - M'en avez vous laissé le temps ? Déjà non jamais et après es ce vraiment utile de toute façon sept voix cotre une seule. Je n'ai aucune chance alors a quoi bon me fatiguer a nier si finalement ça donne le même résultat ? Je me le demande. Je tiens a dire que je suis heureuse que Sandréa aille bien et je m'excuse de lui avoir fait du tord. J'accepterais toute punition quelle qu'elle soit. Répondis-je
Sandréa devint livide après que Dame Eva ai annoncé la sanction ;
             - A partir de ce jour, et ce pendant deux mois, tu recevras trente coups de fouet , tous les samedis
Les coups de fouet résonnèrent sur mon dos et se fut mon dixième anniversaire. Par follie certainement, je me mis a chanter joyeuse anniversaire tout en recevant mes coups. Une fois fini, le dos en sang, je me tourna vers l'assemblé et déclara, ta haute et bien fort ;
             - Merci, Merci beaucoup pour le cadeau de mes dix ans. Je n'oublierai jamais cette anniversaire, soyez en sur ! Je me demande qui sont exactement les monstres ici !
Je ne pleurais point, je fut détacher et je quitta seule cette salle sans un regard en arrière puis retourna dans ma chambre qui était redevenue rose depuis le vandalisme de Sandréa et ses amies.

Les semaines passèrent, j'avais toujours cours avec Arthus qui me parlait juste le strict minimum et je faisait de même. Mes autres cours  était sans Eva et surtout seule, je lisais tout livre me passant dans les mains, mangeait seule et jouait bien sur seule. Bien sur le samedi, ma punition était respecter sous l’œil approbateur de toutes les autres jeunes filles. Ne soignant pas mes plaies, cela devenait de plus en plus moche et sanglant. Mais la dernière semaine de ma sanction, n'ayant jamais pleurer ni hurler de douleur, le dos et le fouet imbibés de sang, une jeune fille du groupe de Sandréa en eu assez de cette horrible vision et de cette injuste se leva et cria ;
            - Arrêtez ! Tous cela est injuste ! Je n'en peux plus de voir cela !

Les coups s’arrêtèrent et Eva se leva et s'exclama ;
            - Jeune fille, c'est la justice ! Ataliel a perpétré un acte des plus horrible, elle mérite tous ceci !
C'est faux, elle n'a rien fait du tout , bien au contraire ! C'est nous qui avons mis le feu a l’académie  et c'est Ataliel qui la éteint et puis elle s'est même jeter dans les flammes car Sandréa c'était rapproché d'elle. Ne voulant pas la blessé, elle a fais cela et c'est pour cela que Sandréa est encore en vie, c'est grâce a Ataliel. On a menti pour se protéger.
Pleura-t-elle alors que ces amies devenaient pâle

Je remis mon T-shirt et vint prendre la jeune fille dans mes bras et la remercia
            - Es ce la vérité ? Demanda Eva en regardant les autres filles qui hochèrent la tête puis baissèrent la tête

Eva devint rouge de colère et m'observa  avec une envie de pleurer mais Arthus la devanca et pleurait déjà en allant a ma rencontre. Je me tourna vers lui puis recula  et regarda Eva puis je déclara ;
            - Alors ? Finalement ma question a trouvé réponse mais bon. Je vous pardonne, ne vous inquiétez point pour cela mais.... Eva si vous osez les punir, je jure que j'irai raconter a mon père que vous m'avez donné trente coups de fouet , chaque semaine pendant deux mois sans aucune raison valable. A mon avis, votre sort sera bien pire que trente coups si vous voyez ce que je veux dire !

            - Ataliel, j'ai fait une grave erreur et je sais que m'excuser ne changera rien a ce que j'ai pu faire. Alors  je te remercie de m'avoir pardonné. Déclara-t-elle honteuse et peiné

Arthus vint se mettre devant moi et la, j'aperçus sur son visage, ses traits étaient creusés par l’inquiétude. Ces ongles étaient rongé par la peine et je me rendis compte que la haine que j'avais lu dans leurs yeux était une haine envers eux-mêmes. Tout ce pourquoi j'avais résisté a la douleur s'envola. Je fis une grimace qu'Arthus vit, il vint m'aider et lui aussi fit une drôle de tête en regardant mon dos. Je souriait a Eva et c'était la première fois en deux mois. Je la fixais dans les yeux et lui dit faiblement ;
           - Merci Eva, merci sœurette. Désolée de t'avoir fait du souci

Je lui fit un clin d’œil puis sorti de la pièce avec l'aide d'Arthus  sous les applaudissements admiratifs des demoiselles. Arthus me fit m’allonger sur le ventre et releva mon haut. Un cri de stupeur lui échappa ce qui me fit rire.
            - Un problème Arthus ? Mon dos est dans un sale état n'es ce pas ? Riais-je

            - Ataliel, pourquoi ne t'es tu pas soigné de plus je te l'ai enseigné. Tu auras un cicatrice maintenant.  Annonça-t-il tristement

            - Arthus ne soyez point triste car c'est mon choix et je voulais cette cicatrice pour me souvenir de cet événement. Je ne regrette pas d'avoir choisie cette voix et l'assume complètement. Si vous ne souhaitez pas me soigner, je comprendrais. Déclarai-je sereinement

            - Arrêtes de dire n'importe quoi petite génie et tiens toi tranquille pendant que je remet ton dos dans son état d'origine enfin.. dit-il le sourire aux lèvres

Il commença les soins et je me détendis. A la fin de la séance, je me redressa et regarda dans le miroir la cicatrice se trouvant dans mon dos. Eva était arrivée peu de temps avant la fin des soins et elle regardait la cicatrice depuis le début
            - Ataliel,  pourquoi cette cicatrice ? Pourquoi avoir accepter cette injuste punition ? Pourquoi m'avoir  laisser faire ? Demanda-t-elle

             - Cette cicatrice sera mon souvenir après je méritais cette punition. Je n'ai pas respecter le règlement, j'ai utilise le KI et blesser quelqu'un vois tout donc vous avez bien faut mime si je dois avouer que je vous ai détesté même haïe de tous mon être. Mais quand j'ai vu le visage d'Arthus, j'ai compris que je mettais mépris. Déclarai-je

Arthus ne pu s’empêcher de me prendre dans ces bras après un instant je m'écarta et leur dit Au revoir puis reparti dans ma chambre. J'étais heureuse mais je savais très bien que cela n'allait pas durer étant donné que je ne souhaitait pas devenir Prêtresse Sacrée


[HRP] Je vous propose un lien ou vous pouvez avoir le texte en forme open office, n'étant pas sur qu'il soit très lisible.. : http://www.k-upload.fr/afficher-fichier-2016-08-14-129243d78monjournalin.odt.html. Alors c'est juste la première partie du journal donc 1/3 . C'est un texte assez long donc j’espère que les fautes ne vous brûlerons pas les yeux ni même l'histoire elle même. Voila Bonne lecture aux courageux ^^ [HRP]


Dernière édition par Hache_tag le Mer 2 Nov - 16:53, édité 3 fois
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Message par Invité Dim 14 Aoû - 20:16

Avant la lecture: On a trouver la version féminine de Nartack! Inventer des romans c'est pas du gâteau gg à toi. Bref je me lance!

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Message par G1G4BL4Z3R Lun 15 Aoû - 15:29

Ha oui c'est sûr je ne lirai jamais jusqu'au bout ^^ trop long
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Message par Vokkun Jeu 25 Aoû - 20:17

Un très beau personnage et une leçon de vie ! C'est une belle histoire bien écrite que tu nous as laissé là, je te tire mon chapeau pour avoir eu la motivation et l'envie d’écrire ça ! (chose que moi je peine à avoir lorsque je veux écrire quelque chose d'un peu long. ^^' )
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Message par Nartack Jeu 25 Aoû - 22:06

Cette Ataliel de la patience !

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Message par Invité Sam 27 Aoû - 23:19

Fallait pas dire que c'était que le 1/3 de ton histoire, j'ai tout lu pour tomber dans le désespoir de lire deux autres parties aussi longues ? :'(

Sinon y'a des fautes, c'est normal je suis pas le dieu du Français, mais le dieu du Québécois sur MinecraftRP !

Bon je dérape encore, c'était un bon texte je trouve. Il y a un énorme potentiel si tu rendrais la syntaxe plus complète ! :)

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Message par Invité Dim 12 Fév - 14:09

Une suite pour la 2.0 ?

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